Photo réalisé en 2003 à la Réserve Naturelle de l'ile du GirardsVendredi 8 février en fin de journée, je décide de me rendre sur la Réserve de l'Ile du Girards à Gevry (39) afin de réaliser quelques observations.
Arrivé à mi chemin environ de la digue, j'entends des cris que j'identifie comme ceux de deux chats se bagarrant où plutôt s'accouplant: des cris identiques à ceux bien connus dans nos villages qui parfois nous empêchent de fermer l'œil durant de longues nuits. Quelques minutes plus tard, j'étais une centaine de mètre plus loin et de nouveau les cris des deux chats encore plus forts. Je pense de suite "je m'approche, pourvu qu'ils ne me voient pas avant que j'ai le temps de les observer" ... L'espoir de voir Felis sylvestris de nouveau dans l'enceinte de la RN est grand et je ne vous parle même pas de l'envie d'admirer l'animal.
Mon envie est récompensée lorsque j'arrive au niveau d'un abri pour les chevaux, j'observe un superbe male en prairie quittant probablement sa compagne pour d'autres aventures. Durant environ 1 minute, l'animal traversa le pré sans se douter de ma présence, tranquille... Lorsque d'un coup tournant la tête dans ma direction, il me voit, son attitude placide devient tout autre : il se tapi au point que je ne vois plus que le dessus de la tête qui dépasse de l'herbe rase. Son regard est fixe dirigé dans ma direction, l’animal ne me quitte pas des yeux. Je me déplace pour me mettre derrière quelques broussailles après quelques minutes sans marcher vite faignant de ne pas voir l’animal. Toujours aussi attentif à ma présence qu’il ne peut probablement plus décelé, il faut attendre environ 5 minutes pour que Monsieur décide de ramper avant de se mettre franchement sur ses pattes après 1 où 2 mètre et courir très vite se réfugier dans une zone buissonnante.
Arrivé à mi chemin environ de la digue, j'entends des cris que j'identifie comme ceux de deux chats se bagarrant où plutôt s'accouplant: des cris identiques à ceux bien connus dans nos villages qui parfois nous empêchent de fermer l'œil durant de longues nuits. Quelques minutes plus tard, j'étais une centaine de mètre plus loin et de nouveau les cris des deux chats encore plus forts. Je pense de suite "je m'approche, pourvu qu'ils ne me voient pas avant que j'ai le temps de les observer" ... L'espoir de voir Felis sylvestris de nouveau dans l'enceinte de la RN est grand et je ne vous parle même pas de l'envie d'admirer l'animal.
Mon envie est récompensée lorsque j'arrive au niveau d'un abri pour les chevaux, j'observe un superbe male en prairie quittant probablement sa compagne pour d'autres aventures. Durant environ 1 minute, l'animal traversa le pré sans se douter de ma présence, tranquille... Lorsque d'un coup tournant la tête dans ma direction, il me voit, son attitude placide devient tout autre : il se tapi au point que je ne vois plus que le dessus de la tête qui dépasse de l'herbe rase. Son regard est fixe dirigé dans ma direction, l’animal ne me quitte pas des yeux. Je me déplace pour me mettre derrière quelques broussailles après quelques minutes sans marcher vite faignant de ne pas voir l’animal. Toujours aussi attentif à ma présence qu’il ne peut probablement plus décelé, il faut attendre environ 5 minutes pour que Monsieur décide de ramper avant de se mettre franchement sur ses pattes après 1 où 2 mètre et courir très vite se réfugier dans une zone buissonnante.
Photo réalisé en 2003 à la Réserve Naturelle de l'ile du Girards
Photo C. 
L'étape de 
